



L’enseignement supérieur au Maroc fait face ces dernières années à plusieurs contraintes. Un nombre de bacheliers annuels en hausse et une capacité d’accueil des établissements qui a stagné depuis des années. Dans cette situation, les grandes écoles de l’enseignement public à accès régulé procèdent à des concours afin de mieux filtrer leurs nouveaux étudiants.
Ces choix intriguent de plus en plus les étudiants. Les bacheliers désirant intégrer les formations du secteur public se trouve face à deux choix : les établissements à accès par voie de concours (ENCG, ENSA, ENSAM, Facultés de médecine…) et les établissements à accès ouverts (les facultés économiques, juridiques, scientifiques, littéraires…).
L’enseignement supérieur au Maroc fait face ces dernières années à plusieurs contraintes. Un nombre de bacheliers annuels en hausse et une capacité d’accueil des établissements qui a stagné depuis des années. Dans cette situation, les grandes écoles de l’enseignement public à accès régulé procèdent à des concours afin de mieux filtrer leurs nouveaux étudiants.
Ces choix intriguent de plus en plus les étudiants. Les bacheliers désirant intégrer les formations du secteur public se trouve face à deux choix : les établissements à accès par voie de concours (ENCG, ENSA, ENSAM, Facultés de médecine…) et les établissements à accès ouverts (les facultés économiques, juridiques, scientifiques, littéraires…).